Au fil du temps se confirme l’évolution amorcée par le pouvoir sarkozyste dès son installation, aggravant les traits les plus antidémocratiques d’une V° République passée d’un système dit de « parlementarisme rationalisé », à une « monarchie aléatoire » (sanctionnée par le quinquennat et l’inversion des élections présidentielle et législatives), pour déboucher sur la « dérive bonapartiste » dans laquelle le pays est aujourd’hui entraîné (1). Sarkozy couvre la (...)