Assemblée Nationale, le mercredi 14 octobre 2009.
M. le président. La parole est à Mme Martine Billard.
Mme Martine Billard.
Monsieur le président, monsieur le secrétaire d’État, monsieur le rapporteur, le redécoupage était obligatoire, c’est indéniable. Toutefois, on peut imaginer que, lorsqu’il s’agit de redéfinir les règles de l’élection des représentants du peuple, on le fasse au nom du respect, à la fois, de la démocratie, de la pluralité politique du (...)