Il y a comme un bruit de casseroles au sein du parti de Mariano Rajoy, le Parti populaire. Argent, montres et voitures de luxe offerts à des responsables du PP, en échange de l’attribution de marchés à un groupe d’entreprises dont le patron, Francisco Correa, se faisait appeler « Don Vito », comme le Parrain de Coppola : l’affaire Gürtel, du nom de ce réseau, a pris cette semaine un méchant tour pour le parti de la droite conservatrice espagnole. Son président, depuis de (...)