1) Le problème majeur de la période de crise profonde du capitalisme que nous traversons n’est pas le manque de combativité d’un mouvement ouvrier mais l’absence de toute perspective alternative au mode de production capitaliste qui voue les luttes à se réduire à une guérilla incessante contre le capital. Croire qu’une telle perspective découlera naturellement du mouvement des luttes, c’est se tromper radicalement. L’histoire enseigne au contraire que les (...)