Dès l’arrivée à l’aéroport international Simon Bolivar de Caracas, on perçoit la différence. Après le contrôle des passeports, les publicités pour les cosmétiques et les jeux électroniques des magasins Duty-Free sont toujours aussi tapageuses, mais les étagères sont vides. On ne peut acheter que du rhum ou des cigarettes produits localement. A la sortie, il suffit de faire quelques pas pour se faire accoster par de jeunes hommes, qui proposent leur service de taxi et plus (...)