Une loi adaptée aux relations commerciales avec l’Afrique subsaharienne sert les intérêts du marché américain.
Lors de son discours prononcé au Ghana au début du mois de juillet, Barack Obama avait mis l’accent sur une nécessaire « démocratisation économique et sociale » en Afrique. En réalité, sa secrétaire d’État se pose plutôt en représentante des intérêts américains par le biais d’une loi, appelée AGOA, African Growth and Opportunity Act. Une loi américaine qui (...)