En 1960, le lycée Foch de Rodez m’accueillit en 6ème. Comme beaucoup d’ internes, je passais quinze fois plus de temps dans l’établissement scolaire qu’en famille. Lecteur passionné, je puisais dans les seuls livres empruntables par les élèves : ceux de la Bibliothèque paroissiale. Les aumôniers étaient particulièrement sympathiques et en osmose avec les ruptures de Vatican II.
Je fus rapidement attiré par un titre présent à une dizaine d’exemplaires, publié (...)