1891 : fièvres spéculatives sous le Second Empire
"Etranglée d’une émotion invincible, à l’idée de ces millions qui allaient tomber sur eux, elle se pendit à son cou, elle pleura. C’était de la joie sans doute (...), mais c’était de la peine aussi, une peine dont elle n’aurait pu dire au juste la cause, où il y avait comme de la honte et de la peur."
L’ivresse coupable que ressent Mme Caroline en voyant sa fortune enfler passivement sous le seul effet (...)